John Weatherford écrit sur Medium (via Federico Viticci) :
TL;DR: Apple a apparemment, par l’intermédiaire d’une sorte de collaboration avec un professeur d’université, publié la semaine dernière — pendant la WWDC — un cours approfondi pour apprendre à coder avec Swift qui est en quelque sorte sur iTunes U, mais qui est plutôt réellement sur GitHub.
§vendredi 26 juin 2015
Arik Hesseldahl rapporte pour Re/Code :
Le mouvement est le dernier d’une série de partenariats stratégiques que les deux sociétés ont formé ces derniers mois. Plus tôt ce mois-ci, Box a conclu un marché pour permettre aux utilisateurs de Microsoft Office de collaborer sur des documents via les services de Box dans le cloud. Et l’année dernière IBM a conclu des accords avec Apple pour introduire des appareils mobiles et des logiciels dans les grandes entreprises, et pour faire du data-mining avec Twitter.
§jeudi 25 juin 2015
Le nouveau site web Test Drive rapatrie les démonstrations les plus populaires depuis l’ancien site.
Un des principaux objectifs de Microsoft Edge est d’offrir une plus grande interopérabilité entre les navigateurs, de sorte que le Web “just works” pour les utilisateurs sur n’importe quel appareil sur n’importe quelle plate-forme. Le nouveau Test Drive soutient cet objectif en fournissant aux développeurs web des démos qui montrent comment construire du code interopérable basé sur les nouvelles fonctionnalités du Web. Pour rendre ce processus aussi facile que possible, nous sommes heureux de rendre “Open Source” toutes nos démos sur GitHub, pour que tout le monde puisse apprendre et réutiliser ce code dans n’importe quel site web (ou pour contribuer aux correctifs!).
§mardi 23 juin 2015
Pour lire plus avant à propos d’Apache Spark, Sean Owen, de Cloudera a écrit un post en mars dernier expliquant la valeur ajoutée d’Apache Spark :
L’éventail des outils disponibles pour les Data Scientists est une histoire de compromis malheureux:
- R offre un environnement riche pour l’analyse statistique et l’apprentissage machine, mais il est quelque peu brut lors de l’exécution de nombreuses tâches de traitement de données et de nettoyages nécessaires avant que l’analyse réelle ne puisse commencer. Comme langage, il n’est pas similaires aux langages dominants que les développeurs connaissent.
- Python est un langage de programmation général avec d’excellentes bibliothèques pour l’analyse des données comme Pandas et scikit-learn. Mais comme R, il est toujours limité à une quantité de données qui tient dans une seule machine.
- Il est possible de développer des algorithmes d’apprentissage machine distribués avec le classique framework de calculs MapReduce avec Hadoop (cf. Apache Mahout). Mais MapReduce est notoirement bas niveau et difficile pour exprimer des calculs complexes.
- Apache Crunch offre une API Java plus aisée, idiomatique pour exprimer des calculs MapReduce. Mais là encore, la nature de MapReduce le rend inefficace pour les calculs itératifs, et la plupart des algorithmes d’apprentissage machine ont une composante itérative.
Et ainsi de suite. Il y a à la fois des lacunes et des chevauchements entre ces derniers et d’autres outils de science de données. Issu d’un milieu Java et Hadoop, je me demande parfois avec envie : pourquoi ne pouvons-nous pas avoir un bel environnement de recherche analytique à la REPL comme ont les utilisateurs Python et R ? Qui plus est évolutif et distribué ? Et la belle conception de collections distribuées de Crunch ? Et qui peut également être utilisé dans des contextes opérationnels ?
§vendredi 19 juin 2015
Steve Lohr écrit sur le Bits Blog du New York Times, suite à l’annonce d’IBM d’affecter plus de 3500 développeurs et chercheurs sur des projets liés à Spark :
La technologie Spark a été développé au Algorithms, Machines and People Lab de l’Université de Californie, Berkeley. Un groupe du laboratoire de Berkeley a fondé une entreprise il y a deux ans, Databricks, qui propose des logiciels Spark comme un service dans le cloud.
Spark, dit M. Picciano, est une technologie cruciale qui va permettre de “vraiment fournir la promesse des Big Data.” Cette promesse, a-t-il dit, est de gagner rapidement une connaissance des données pour gagner sur le temps et les coûts, et de déceler les opportunités dans des domaines comme les ventes et développement de nouveaux produits.
§vendredi 19 juin 2015
Swapnil Bhartiya écrit pour ITWorld :
Il existe deux éditions de LibreOffice disponible sur le Mac App Store: LibreOffice-from-Collabora et LibreOffice Vanilla. Alors que l’édition Vanilla peut être téléchargée gratuitement, LO de Collabora est au prix de 10$.
La version payante cible le secteur des entreprises et du secteur public et est livrée avec trois ans de mises à jour de maintenance. Il y a beaucoup de différences entre les deux versions, m’a expliqué Michael Meeks, vice-président de la productivité chez Collabora et membre du conseil de “The Document Format” : Vanilla est la dernière branche “fraîche” du code produit par les bénévoles à TDF. LibreOffice-from-Collabora est basé sur la branche “stable” du code LibreOffice avec certaines fonctions “back-portés”, et est maintenue à long terme (3 ans contre 6 mois pour Vanilla). ‘’
§jeudi 18 juin 2015
Un article très judicieux sur les implications du format de Représentation Intermédiaire de LLVM:
LLVM transforme le code source d’une application en Bitcode, puis transforme ce Bitcode en une application exécutable. Ce design rend incroyablement facile d’ajouter le support de nouveaux langages (front ends), et de nouveaux processeurs (back ends). Bien que Bitcode lui-même ne puisse pas fonctionner sur quoi que ce soit, il peut être transformé vers n’importe quelle architecture de CPU supportée, y compris celles qui n’existaient pas encore lorsque l’application a été soumise.
MISE À JOUR: Il y a un fil à yCombinator de drfuchs qui apporte des éclaircissements sur ce que peut faire Bitcode:
J’ai réussi à demander à Chris Lattner cette même question au WWDC (pendant un moment où il n’était pas entouré par une foule d’adorateurs). “Alors, vous préparez une nouvelle architecture CPU ?” Mais, “Non; pensez plutôt comme ‘ajouter une nouvelle instruction multiply’. Au moment où vous êtes dans Bitcode, vous êtes déjà assez spécifique à l’architecture” dit-il.
§mercredi 17 juin 2015
Microsoft a annoncé aujourd’hui une réorganisation majeure de son top management (via Brian Katz.)
§mercredi 17 juin 2015
Suite à l’annonce de Facebook de traquer la manière dont les lecteurs parcourent leur fil d’actualité, Julia Greenberg écrit pour WIRED :
En plus de capturer avec plus de précision ce dont les lecteurs se soucient vraiment, l’espoir parmi de nombreux journalistes est que mesurer le succès des articles basés sur le temps passé dessus peut signifier que leurs éditeurs (et les algorithmes de Facebook) vont commencer à préférer les articles de grande qualité qui engagent véritablement le lecteur plutôt que les pièges à clics jetables, que les lecteurs quittent rapidement.
§mardi 16 juin 2015
“Nous sommes ravis qu’une poignée d’entreprises privées aient choisi de poursuivre cet effort”, a déclaré SpaceX dans un communiqué. “Ni SpaceX, ni Elon Musk ne sont affiliés avec aucune société Hyperloop. Bien que nous ne développions pas un Hyperloop commercial nous-mêmes, cela nous intéresse d’aider à accélérer le développement d’un prototype Hyperloop fonctionnel.”
§lundi 15 juin 2015
Le CEO de Flipboard, Mike McCue réagit à l’application Apple News, pendant l’épisode du 11 juin du podcast BBC Tech Tent intitulé “La tourmente Twitter” (avance rapide jusqu’à 8’34’’) :
“Nous sommes clairement sur quelque-chose à Flipboard. Ce qu’Apple a montré est quelque-chose que nous avons en fait livré il y a 5 ans. Dans le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui, vous devez être capable de travailler avec des entreprises, même quand vous êtes en compétition sur certains fronts, cela ne signifie pas que vous ne travaillez pas avec elles, vous trouvez toujours des opportunités pour travailler avec ça. Et, ce faisant, ce que vous trouvez généralement, sont des pistes qui permettent de continuer à croître, ce n’est pas une situation où le gagnant empoche tout.”
§samedi 13 juin 2015
Un chef d’œuvre par Paul Ford, présenté par Josh Tyrangiel :
Le logiciel existe depuis les années 1940. Ce qui signifie que les gens ont fait semblant de se frayer un chemin à travers des réunions sur les logiciels et le code qui le construit, depuis des générations. Maintenant que le logiciel vit dans nos poches, dirige nos voitures et nos maisons, et contrôle nos réveils, l’ignorance n’est plus acceptable. Le monde appartient à ceux qui codent. Ceux qui ne le comprennent pas seront laissés en chemin.
Via Eric Florenzano
§vendredi 12 juin 2015
Sur le même sujet que “Comment Tesla va changer votre vie”, Horace Dediu poste un article montrant comment le marché automobile a évolué au siècle dernier et pourquoi les innovations de rupture proviennent des process de fabrication plutôt que de la technologie :
Il y a un argument supplementaire. Comme Tesla a choisi de partager sa propriété intellectuelle et comme l’a déclaré publiquement Elon Musk, ils invitent les autres à construire les mêmes voitures qu’eux. Donc, de leur propre aveu l’entreprise ne cherche pas à rompre. L’entreprise en rupture a une position concurrentielle.
§vendredi 12 juin 2015
...le plein avantage des technologies d’OS X comme OpenGL, Grand Central Dispatch, Core Graphics, est pleinement optimisé pour le 64-bit et les processeurs multi-core, et supporte le trackpad Force Touch...
§mercredi 10 juin 2015
Tim Urban a eu la chance d’interviewer Elon Musk, Franz von Holzhausen et leurs ingénieurs. Il écrit dans un précédent post à propos du travail préparatoire nécessaire aux interviews :
Le problème avec ce putain d’Elon Musk, cependant, c’est qu’il se trouve impliqué dans toutes les industries suivantes :
- Automobile
- Aérospatiale
- Énergie solaire
- Satellite
- Transport terrestre à grande vitesse
- Et, euh, une expansion multi-planétaire
L’article est divisé en trois sections (les histoires de l’énergie incluant les effets des gaz à effet de serre, des voitures, et de Tesla), chacune vaut la lecture par elle même :
Mais avec un objectif aussi ambitieux “qu’accélérer l’avènement du transport durable” et une condition de victoire aussi lointaine que “la moitié de toutes les nouvelles voitures soient électriques,” construire une grande entreprise automobile ne suffit pas. Pour amener l’idée originelle de Musk au prochain niveau, la société Tesla aurait besoin de changer d’échelle elle-même. Pour ce faire, Tesla construit une gamme de voitures si excellentes qu’elle changera les attentes du public sur ce qu’une voiture devrait être, et l’ensemble de l’industrie devra s’adapter à cette nouvelle attente.
Et en résolvant autant de problèmes de VE1 pour ses propres voitures, elle forge le chemin vers un monde de dominé par les VE pour toutes les autres sociétés aussi (une entreprise qui essaierait de se hisser au sommet de son industrie tiendrait secrètes ses innovations — mais parce que l’objectif de Tesla est de transformer l’industrie, en 2014, Tesla a rendu disponible l’ensemble de ses brevets pour qui les voudrait).
§vendredi 5 juin 2015
Species In Pieces a obtenu la récompense “Site Web du mois” par le site CSS Design Awards en mars 2015. Son Web designer Bryan James explique comment il a monté cette démonstration de la puissance de CSS Masking dans le navigateur :
In Pieces est une exposition interactive de 30 des espèces les plus distinguées du monde mais, malheureusement, en voie d’extinction. [...]
In Pieces a commencé en expérimentant et en bricolant du code, pas comme un grand projet interactif pour aider à la préservation, aussi romantique que cette notion puisse paraître. Je me souviens lire à propos de la propriété
polygon
declip-path
de CSS à la mi-2014 et apprendre son incroyable potentiel. Quelques mois passèrent et je fus surpris de ne pas la voir beaucoup utilisée sur le web, probablement éclipsée par l’attention accordée à SVG, canvas et WebGL. Je sentais queclip-path
fournissait l’occasion de plonger dans quelque chose d’intact et d’explorer ce qui pourrait être fait avec. En même temps, créer un projet purement CSS semblait (plutôt ironiquement) à la pointe.
§jeudi 4 juin 2015
Matthew Panzarino rapporte pour TechCrunch à propos du discours de Tim Cook sur le cryptage et la confidentialité lors de l’événement Champions of Freedom de l’EPIC à Washington. Tim Cook a commenté implicitement sur les sociétés (Google et Facebook parmi d’autres) qui collectent les données des utilisateurs, mettant l’accent sur Google Photos:
“Nous croyons que le client doit être au contrôle de sa propre information. Vous pourriez aimer ces services dits libres, mais nous ne pensons pas que cela vaille qu’ils aient votre email, votre historique de recherche et maintenant même vos photos de famille analysées et vendues dans Dieu sait quel but publicitaire. Et nous pensons qu’un jour, les clients verront ces services pour ce qu’ils sont.”
Pour rappel, voici un extrait de la licence qui s’applique à Google Photos :
Lorsque vous importez, soumettez, stockez, envoyez ou recevez des contenus à ou à travers de nos Services, vous accordez à Google (et à toute personne travaillant avec Google) une licence, dans le monde entier, d’utilisation, d’hébergement, de stockage, de reproduction, de modification, de création d’œuvres dérivées (des traductions, des adaptations ou d’autres modifications destinées à améliorer le fonctionnement de vos contenus par le biais de nos Services), de communication, de publication, de représentation publique, d’affichage public ou de distribution publique desdits contenus. Les droits que vous accordez dans le cadre de cette licence sont limités à l’exploitation, la promotion ou à l’amélioration de nos Services, ou au développement de nouveaux Services. Cette autorisation demeure pour toute la durée légale de protection de votre contenu, même si vous cessez d’utiliser nos Services (par exemple, pour une fiche d’entreprise que vous avez ajoutée à Google Maps).
§mercredi 3 juin 2015
Joshua Topolsky écrit pour BloombergBusiness sur le nouvel assistant contextuel d’Android M :
Mais d’autre part, cela commence à montrer comment Google peut être une couche d’interconnexion entre les applications elles-mêmes — une sorte de terrain neutre entre une action et une autre. C’est un changement radical de la façon dont nous utilisons nos appareils mobiles et comment les applications mobiles interagissent les unes avec les autres.
§mardi 2 juin 2015
A Google I/O, les responsables de Google Cast ont annoncé :
17 millions d’appareils Chromecast ont été vendus, avec 1,5 milliard d’appuis sur la touche Cast, changeant la façon dont les gens regardent la télévision. Aux États-Unis, les utilisateurs Chromecast actifs consomment 66% de contenu en plus par jour que lors de son lancement en Juillet 2013. Nous voyons une augmentation de 45% du visionnage de YouTube depuis une activation Chromecast.
§lundi 1 juin 2015
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