La machine à communiquer d’IBM tourne à plein régime sur developerWorks Open. C’est une plate-forme collaborative basée sur GitHub où les développeurs extérieurs peuvent collaborer sur des projets avec les ingénieurs d’IBM. Parmi les nombreux projets publiés sur la plateforme, il y a un outil d’analyse pour Apache Spark: Spark Kernel.
§lundi 27 juillet 2015
Après l’avertissement de Federico Viticci sur l’installation de logiciels finis sur un OS non fini, il n’est plus possible d’émettre des avis sur des applications dans iOS 9 beta. Mais qu’en est-il de Mac OS X ? Craig Hockenberry nous rappelle à quel point les outils disponibles pour les développeurs Mac sont en retard par rapport à ceux d’iOS:
TestFlight a été disponible pour les développeurs internes depuis qu’iOS 8 a été annoncé en 2014. Le système a été ouvert aux testeurs externes qui ont un compte iTunes dans la première partie de 2015.
Les développeurs Mac n’ont jamais eu accès à TestFlight, que ce soit en interne ou en externe. Il est à venir “prochainement”, et jusqu’à ce que ce jour arrive, il n’y a aucun moyen de tester des applications qui utilisent les serveurs iCloud. Ce qui craint à la fois pour le développeur et le client.
Mais attendez, il y a plus.
§vendredi 24 juillet 2015
Peter Bright rapporte pour Ars Technica la sortie de la nouvelle version de Microsoft Visual Studio et .Net avec le support du développement multi plates-formes: Android, iOS, WatchOS (grâce aux bibliothèques Xamarin pour les deux dernières). Mais il y a encore une chose:
L’éditeur de texte C++ inclut aussi le support du refactor pour la première fois.
Sans commentaire.
§mardi 21 juillet 2015
Suite à l’introduction des extensions pour bloquer la publicité dans iOS9, l’attention a été portée sur le pistage et la lourdeur des publicités dans les pages Web. Frédéric Filloux a testé les plus grands sites d’informations :
Considérez les observations suivantes: Lorsque je clique sur une page de l’article du New York Times, il faut environ 4 minutes pour télécharger 2 mégaoctets de données par le biais de... 192 requêtes, les unes vers les serveurs du Times, le plus grand nombre vers d’autres serveurs hébergeant des dizaines de scripts. D’accord: la partie la plus utile - 1700 mots / 10300 caractères article + photos - vont se charger en moins de cinq secondes.
Mais quand je vais sur Wikipedia, une histoire en 1900 mots se chargera en 983 millisecondes, ne nécessitant que 168 kilo-octets de données par le biais de 28 requêtes.
§jeudi 16 juillet 2015
Nous sommes au milieu de juillet, et il fait trop chaud par ici. Pourquoi ne pas passer quelques minutes à rafraîchir nos esprits en apprenant quelque chose d’intéressant pour nous, les développeurs ? Jamie Talbot de l’équipe de Medium explique très clairement ce que sont les filtres de Bloom et comment Medium s’en sert:
Les filtres de Bloom peuvent très rapidement répondre à des variations sur la question Oui / Non “est-ce que cet objet est dans l’ensemble ?”, comme “ai-je vu cet article avant?”. Il y a deux mises en garde importantes cependant. Très rarement, il va dire Oui quand la réponse est effectivement Non (bien qu’il ne dira jamais Non, quand la réponse est en fait Oui). Vous ne pouvez pas non plus supprimer un élément à partir d’un filtre de Bloom.
§jeudi 16 juillet 2015
Ça m’avait vraiment manqué :
Géolocalisation. Oui, dans Photos 1.1, vous pouvez ajouter un emplacement à une image ou un lot d’images qui n’ont pas été géotaguées, ainsi que modifier l’emplacement des données d’images déjà géolocalisées. Pour ce faire, vous ouvrez la fenêtre Inspecteur. Une image non encore géolocalisées offrira une section de la fenêtre intitulée Assigner un emplacement. Cliquer dans cette zone vous permet d’entrer une adresse de rue ou le nom d’un point d’intérêt, et Photos la recherchera dans la base de données d’Apple Maps. Si l’endroit n’est pas assez précis pour vous, vous pouvez toujours cliquer sur le “pin” et le faire glisser sur la carte, pour le placer où vous le souhaitez.
§lundi 13 juillet 2015
Paul Mayne (Day One), a posté une copie d’écran d’un avis négatif, parce que la beta publique d’iOS 9 faisait planter son logiciel. Federico Viticci rappelle aux utilisateurs quelles sont les conséquences pour les applications dans l’App Store et le Mac App Store:
Pour les développeurs tiers — les types qui font les applications que vous utilisez tous les jours — le problème est aggavé par le fait que leurs applications stables peuvent être installées et exécutées sur une version inachevée d’iOS/OS X et que les utilisateurs peuvent laisser des critiques publiques sur l’App Store. Ceci est au cœur du problème qui se pose chaque année.
UPDATE (22 juillet 2015): Vous ne pouvez plus poster des avis sur la applications depuis une version beta d’iOS.
§lundi 13 juillet 2015
Moins d’un an après avoir été embauché pour redémarrer le site Web de Bloomberg, Joshua Topolsky quitte la société alors que M. Bloomberg n’acceptait pas la nouvelle direction du site Web. Ravi Somaiya rapporte pour le New York Times :
Le licenciement de M. Topolsky est une manifestation forte de ce que près d’une douzaine de membres actuels et anciens du personnel de Bloomberg décrivent comme un environnement chaotique qui existe dans l’entreprise depuis que M. Bloomberg est revenu en septembre 2014. [...]
Un problème majeur, ont dit ces gens, est que Bloomberg, comme société de médias, a du mal à déterminer exactement ce qu’elle veut être.
§samedi 11 juillet 2015
Dina Bass et Adam Ewing rapportent pour Bloomberg Business après que Microsoft ait publié l’étape suivante de la stratégie annoncée le mois dernier :
Nadella réduit ses ambitions mobiles, cherchant à ajuster les appareils Windows pour un ensemble plus réduit de clients, plutôt que d’essayer de vendre le plus de téléphones mobiles possible sur un marché dominé par Apple Inc. et Google Inc.
L’article indique que les nouveaux téléphones viseront trois marchés :
Peter Bright (habituellement ma référence pour “tout ce qui est Microsoft”) critique la stratégie de Nadella dans une analyse approfondie à Ars Technica, affirmant que Microsoft abandonne sa capacité à influencer l’informatique lorsqu’il abandonne la mobilité:
Cela laisse Windows coincé sur le “desktop”. Le “desktop” ne disparaîtra sans doute jamais, mais sa capacité à influencer le paysage informatique est clairement diminuée. Avec cela va la capacité de Microsoft d’influencer l’informatique. Et à terme, il est sûr que cela va blesser même les segments “cloud” et productivité en entreprise; cela laisse les développeurs comme les utilisateurs moins investis dans Windows et le développement Windows, et plus enclins à considérer d’autres plate-formes pour leurs besoins.
Je ne pense pas que la capacité de Microsoft à influencer l’informatique soit liée à son leadership sur le “desktop”. Microsoft est très pertinent dans l’industrie du cloud. Les services dans le cloud façonnent maintenant l’industrie informatique d’entreprise. Il est généralement considéré comme bonne pratique d’avoir un faible couplage entre tiers, car cela facilite la maintenance. Cela permet aussi une bonne compétition entre fournisseurs, avec les clients de Microsoft ne se retrouvant pas liés aux outils Microsoft. Microsoft a déjà fait face à cette situation dans les années 90, avec les IDE/langages/compilateurs de Borland par exemple.
C’est tout le sujet de la stratégie actuelle de Microsoft: se concentrer sur les services aux entreprises dans le cloud plutôt que de perdre du temps et des resources sur des marchés déjà perdus. Une entreprise sera facturée pour l’utilisation d’Azure, peu importe depuis quelle plate-forme ou avec quels outils elle les consomme.
§jeudi 9 juillet 2015
Une brique qui s’ajoute à celle de Brent Simmons:
Que cela vous plaise ou non, les applications d’indépendants deviennent comme les jeux indépendants ou les pages Web : des marchés se comportant plus comme ceux de l’art que ceux des technologies.
§mardi 7 juillet 2015
s2n est une bibliothèque qui a été conçu pour être petite, rapide, avec la simplicité comme priorité. s2n évite de mettre en œuvre les options et extensions rarement utilisées, et fait aujourd’hui un peu plus de 6000 lignes de code. À la suite de cela, nous avons constaté qu’il est plus facile d’examiner s2n; nous avons déjà réalisé trois évaluations externes de sécurité et tests de pénétration sur s2n, une pratique que nous allons continuer.
La bibliothèque est disponible sur GitHub sous les termes de l’Apache Software License 2.0.
§jeudi 2 juillet 2015
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