Stan Schroeder écrit pour Mashable :
Jusqu’à présent, les batteries aluminium-ion n’étaient pas en mesure de produire une tension suffisamment importante, surtout après de nombreux cycles de recharge. Mais le prototype créé par les chercheurs de Stanford consiste en une anode en aluminium et une cathode en graphite — une combinaison de matières qui permet de produire suffisamment de tension (environ deux volts), même après des milliers de cycles de recharge.
mardi 7 avril 2015
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